Béatrice Ruffié
Autrice - Scénariste
Mémoires d'un grain de sable
"L’auteure offre une réflexion intelligente à travers des écrits dérangeants, sombres, glauques et sordides. Les chutes font mal, le lecteur se prend des coups, beaucoup de coups et franchement quand on n’est pas un habitué du genre, ça fait très mal ! Pourtant, on en redemande, parce que l’auteure entretient notre « masochisme » en usant d’une écriture fluide et simple qui va à l’essentiel avec cependant suffisamment de subtilités..."
"C’est un peu comme un plat cuisiné que l'on mange depuis longtemps, auquel on ajouterait une épice à la fin pour relever le goût. À la première bouchée, on reconnaîtra la saveur du plat mais on gardera en bouche un arrière-goût de cette épice. À chaque bouchée, on se concentrera un peu plus sur elle pour deviner son nom jusqu’à la bouchée finale et soit on aura reconnu l’épice soit on aura mangé un plat savoureux mais dans les deux cas, c’est réussi."
"La très belle plume et l'imagination de l’auteure nous emportent sur les sentiers plus ou moins sinueux de la mort. {..} un agréable et inédit moment de lecture, tant par sa forme que par son thème."
Les Rebelles Webzine
Tous ces récits ont comme point commun la mort sous toutes ses formes. Il y a de l'angoisse, de l'horreur parfois même, de l'humour, noir bien entendu."
"De l'horreur implicite à de la tendresse, de l'angoisse en un seul mot à de l'humour noir, tout est mélangé pour ne pas rester sur une sombre appréhension. Reste plus qu'à tenter le coup pour une lecture au coin du feu !"
"La bonne étoile"
"Une nouvelle courte et surprenante, surtout par rapport aux autres. Rien n'est dit, tout est sous-entendu et ça rendrait presque cette histoire finale heureuse… presque."
Les frères Carlier
"La première nouvelle de l’anthologie est véritablement un beau coup de coeur, il s’agit Des frères Carlier de Béatrice Ruffié Lacas qui incarne totalement la colère, j’ai véritablement adoré et j’aurai voulu qu’elle se prolonge afin d’en découvrir plus !"
"Les Frères Carlier de Béatrice Ruffié Lacas est une nouvelle qui m'a beaucoup émue et qui m'a profondément marquée, je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi fort, la fin est particulièrement poignante."
Le Bruit
"l'auteur m'a bien eu, je m'attendais à une autre fin et j'ai été surprise par quelques rebondissements. "
"J'ai adhéré très vite à l'histoire, la relation entre l'homme et son intrigante voisine est bien menée, les mots coulent..."
L'antre de Cendre
"J’ai bien aimé l’écriture, la manière qu’a l’auteur de nous emmener là où il le désire, j’ai beaucoup aimé la chute."
"Que dire de cette nouvelle qui m’a… sciée par sa fin totalement imprévisible ?"
Héloïse, à son avantage
"Bien écrit, bien mené, le texte s'apprécie et fait penser à quelques courtes nouvelles fantastiques de la fin du XIX° siècle."
"On se laisse bercer par l’atmosphère raffinée, les mondanités, le flirt entre le professeur d’architecture et la jeune Héloïse qui découvre Paris. On se croirait dans une nouvelle sentimentale, d’où la surprise lorsque se révèle la fin. Cette nouvelle est d’ailleurs ma préférée, car elle utilise les codes de l’écrit sentimental pour ensuite les casser et rejoindre ainsi la thématique du recueil."
"Aux premiers abords vous êtes encore avec la jeune fille futile qu’elle vous a semblé être, notamment grâce à ses pensées de mariage et de frivolité, puis à la relecture vous devinez enfin sous la plume de l’auteur, ce secret, cette découverte importante et pourtant posée si tranquillement dans le récit qu’elle semble s’y fondre. Ce n’est que grâce à l’explication finale que le lecteur entrevoit toute l’horreur de la découverte et avec la relecture du passage qu’il en extrait aussi tout le penchant de l’auteur à la dissimulation."
Un coup en or
"Je ne m’attendais pas à cette fin ! (....) Le fait de tuer n’est pas si terrible que ça pour les personnages (...) ça apporte un côté dérangeant… "
Sans un mot
"C'est une nouvelle assez surprenante à laquelle on ne s'attend vraiment pas...
un tantinet glauque, elle correspond tout à fait au thème et saura vous surprendre "
